La mort de l’ambassadeur des États-Unis en France vue par la presse française (1929)

Les États-Unis et le monde depuis les « Quatorze Points » du président Wilson (1918)


Myron T. Herrick (1854-1929) est ambassadeur des États-Unis en France de 1912 à 1914 : nommé à Paris par le président Taft en février 1912, il est remplacé par William G. Sharp le 1er décembre 1914, après l’entrée en fonction du président Wilson (4 mars 1913). Il retrouve le même poste de 1921 à 1929 et meurt à Paris le 31 mars 1929, quelques jours après les obsèques du maréchal Foch, sa dernière apparition publique.


Une nécrologie de l’ambassadeur dans Le Temps du 2 avril 1929

Le Temps (Paris. 1861)
Gallica – Bibliothèque nationale de France

Jamais la France n’oubliera le noble geste de celui qui, en août 1914, alors que les hordes allemandes se ruaient vers la capitale et que le corps diplomatique suivait le gouvernement à Bordeaux, refusa de s’éloigner de la capitale, déclarant que si la ville était assiégée, il mettrait sous la protection du pavillon américain non seulement toutes les demeures des citoyens des États-Unis mais les églises, les musées et les monuments.


Les obsèques de l’ambassadeur dans Le Petit Parisien du 5 avril 1929

Le Petit Parisien (Paris)
Gallica – Bibliothèque nationale de France


La mémoire de l’ambassadeur dans L’Humanité du 3 avril 1929

L'Humanité (Paris)
Gallica – Bibliothèque nationale de France


L’embarquement des cendres de l’ambassadeur dans L’Ouest-Éclair du 6 avril 1929

L'Ouest-Éclair (Rennes)
Gallica – Bibliothèque nationale de France