Entre 1825 — proclamation d’indépendance — et 1938 — traité de Buenos Aires –, la Bolivie perd la moitié de son territoire, soit un million de km2, à la suite de plusieurs guerres avec ses voisins, le Chili, le Brésil et le Paraguay. La perte la plus cruelle est celle qui intervient à la suite de la guerre du Pacifique (1879-1884) puisqu’elle prive le pays de tout accès à la mer et en fait un pays enclavé. La carte, éditée à La Paz en 1894, représente le territoire de la Bolivie avant la cession définitive au Chili de sa province maritime.
Mapa elemental de Bolivia por Eduardo Idiaquez, La Paz, 1894.
GALLICA – BIBLIOTHÈQUE NATIONALE DE FRANCE
La Bolivie selon le général de Gaulle (1964)
De Gaulle s’exprime en espagnol à Cochabamba le 28 septembre 1964.
« […] porque Bolivia, como Francia, es un pueblo muy antiguo. Bolivia, como Francia, tiene un pasado cargado de gloria y de dolores. Bolivia, como Francia, mira hoy hacia el progreso.
« Porque sois un pueblo orgulloso, valiente, independiente, el pueblo francés tiene plena confianza en vuestro destino.
« Viva Bolivia ! »